Le combat commence. Je ne baisserais pas les bras, et le cafard, le blues, le méchant couteau planté dans ma poitrine, la boule au creux de l'estomac ou qu'importe son nom, ne s'installera pas.
Je ne baisseras pas la garde. Le bouclier restera en place, les armes prêtes à tirer sur les épaules.
Quitte à perdre quelques kilos, à ne plus dormir, à ne jamais s'arrêter, à tout prevenir et à renier le monde en bloc, je refuse que ce truc sans nom s'installe, et me bouffe de l'intérieur. Il n y aura pas d'occupation, pas de diktat.
Je ne baisseras pas la garde. Le bouclier restera en place, les armes prêtes à tirer sur les épaules.
Quitte à perdre quelques kilos, à ne plus dormir, à ne jamais s'arrêter, à tout prevenir et à renier le monde en bloc, je refuse que ce truc sans nom s'installe, et me bouffe de l'intérieur. Il n y aura pas d'occupation, pas de diktat.
Je ne laisserais plus rien me toucher et me réduire à néant.